J-15. Dernière réunion chez les mariés. Sébastien n’a pas encore arrêté son choix de costume, la voiture des mariées n’est pas connue et il n’est pas prévu de répétition de la cérémonie. « On le prendra free-style » me dira Carole quelques jours plus tard.

J-1. Dernier coup de fil à Carole pour s’assurer que l’heure du rendez-vous n’a pas changé… pas de réponse. Et pour cause ! La pauvre Carole, en attente d’un heureux évènement, est restée coincée dans l’ascenseur. Elle me rappellera 1h plus tard, à ma grande surprise, ni paniquée, ni stressée.

Si les mariés n’étaient pas stressés, je crois bien que moi je l’étais en imaginant les nouveaux rebondissements qui pouvaient m’attendre le jour J, alors qu’exceptionnellement, j’allais faire cavalier seul pour ce reportage.

Après 2-3 inspirations/expirations profondes et une fois les mauvaises surprises chassées de mon esprit, j’entame la journée au salon de coiffure avec Carole, souriant d’un air malicieux.

La cérémonie religieuse débute à 11h dans une ambiance des plus joyeuses avec le cousin-prêtre et les mariés à la manœuvre, tous trois arborant le même sourire.

A la sortie de l’église, c’est un vrai feux d’artifices de bises, de sourires et d’embrassades. La journée est belle. La séance photos du couple est prévue en fin d’après-midi. Rendez-vous est pris pour la 2e séance de maquillage de la journée. Je suis accueilli comme un membre de la famille : la petite équipe autour des mariés est très attentionnée.

Toute la journée de ce 17 décembre, j’ai vu et revu, apprécié et ré-apprécié les sourires et la gentillesse de ces 2 familles qui se sont amusées follement dans le joli cadre de l’Habitation Belfort décorée pour l’occasion avec sobriété et classe. Je crois bien que même le sapin en évidence dans la salle de réception arborait lui aussi le même sourire.

Un bien beau mariage et une belle soirée animée par un groupe et un dj des plus appréciés de la place.

Depuis, bébé est né et Malmoth aura l’honneur de capter son sourire, malicieux j’en suis sûr, à travers son viseur.

[PaKo’]

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