Nous avons suivi Alima et Benoit sur deux journées entières et j’ai été marqué, tout au long de ses deux journées, par la grâce d’Alima, toujours pimpante, et par l’élégance rare de Benoit. Si on rajoute à cela, l’organisation minutieuse de mon amie Nathalie, nous avions là, les ingrédients pour des centaines de superbes photos.
Au-delà du charme fou qui se dégageait d’Alima et Benoit, au-delà des sites exceptionnels de beauté qui ont accueilli leurs noces, au-delà même de la météo, qui finalement, nous a permis de travailler dans des conditions plus qu’idéales, il y a un facteur qui, par moment, transforme le magnifique en exceptionnel.
La chance.
Nous avions déjà de très bonnes images pour notre séance de photo de couple et, tout en restant vigilants, nous nous dirigions tranquillement vers Le Lô où nous attendaient tous les invités. La chance a fait souffler un vent tourbillonnant dans le voile d’Alima qui s’est retrouvée prisonnière de l’étoffe. PaKo’ a su saisir l’instant au meilleur moment. Quand Alima a ouvert les bras pour se défaire de sa cage de tulle dans un geste qui lui donne l’allure d’une princesse. Je reste pantois devant cette photo et j’avoue que j’aurais aimé en être l’auteur. Je vous laisse juger par vous même.
[Frédéric]
PS. Frédéric est trop modeste pour parler de la chance dont il a bénéficié lui aussi. Alors, je vais le faire pour lui.
Il n’est pas rare que les jeunes époux se dévouent pour faire que la robe de mariée ne subissent pas trop les assauts des sols mouillés ou sablonneux. La chance a voulu que Frédéric garde son boitier en main alors que nous avions rangé notre matériel. S’il l’avait ne serait-ce que posé dans son sac, il n’aurait pas pu déclencher durant les quelques secondes où Benoit a porté un peu plus haut que nécessaire, les jupons d’Alima.
Le résultat est tout simplement exceptionnel de spontanéité et de fraicheur. [PaKo’]
Merci Alima et Benoit. Nous avons passé deux journées d’exception avec vous.
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